La coopération entre juge est indispensable. Par exemple et seulement à titre exemplatif

  • Pour déterminer la localisation du COMI ou pour établir l’existence ou non de succursales
  • Pour déterminer si des procédures secondaires ou synthétiques doivent être ouvertes ou non ou des procédures des entités d’un groupe
  • Pour établir le passif de chaque entité , le passif solidaire ou pour autrui, les droits des créanciers ( Waterfall)
  • Pour organiser les procédures de manière cohérente en terme de timing et de lien
  • Pour aider a régler les actions de nuisances et mettre au point en commun plan de restructuration transnational
  • Pour faire voter les classes de créanciers, évaluer la valeur de chaque entité et homologuer en même temps les vote
  • Pour rapatrier des actifs
  • Etc…

Cette coopération passe nécessairement en fait par l’aide et l’intervention d’un praticien