L’écrasement n’intervient que si l’actionnaire n’est plus dans la valeur:  L’écrasement des actionnaires c’est à dire en pratique leur dilution , la réduction ou la suppression de droits attachés à leurs titres ( droits de souscription, de dividendes ou de boni de liquidation préférentiels, vote multiples, rédemption, droit d’accroissement ratchet,…) voire leur écartement n’intervient que si le plan l’estime nécessaire et que ces actionnaires ne consentent pas à ce qui est nécessaire alors qu’ils ne recapitalise pas et n’apporte pas de valeur utile. C’est la valeur en activité qui est la clef de l’écrasement. Les actionnaires vont la soutenir très grande et au dessus des dettes ( par exemple dans ORPEA 8 milliards) là ou les créanciers qui veulent convertir vont la soutenir très basse ( dans ORPEA 6 milliard) . L’arbitrage sur la valeur appartient au juge qui en déterminant cette valeur arbitrera les intérêts des parties

L’écrasement est donc contestable si l’actionnaire apporte de la valeur Cet apport peut être en new-Money soit en cash soit par apports en nature d’actifs ou d’activités- comme des actions de filiales, des droits intellectuels, …). Mais cet apport peut être aussi plus immatériel comme le maintien de sa participation qui apporte de la crédibilité bancaire ou financière, ou des compétences en industrie , ou encore des synergies et des relations intra-groupe ( centrale de trésorerie, sous-traitance,…) Cette « New Value » permettra à l’actionnaire de garder des participations. Les créanciers peuvent aussi vouloir garder des actionnaires qui seraient normalement écrasé en acceptant qu’ils conserve une participation et en renonçant en partie à ce que la valeur les paie de suite( Le Gifting)

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