Le dirigeant peut être attaqué selon le droit commun de la responsabilité. La différence avec les article XX 225 ( faute grave) et xx 227 ( exploitation déficitaire) c’est que le demandeur a la charge de la preuve de la faute, du dommage et du lien causal ce qui en cas de faillite est très difficile. le juge doit user d’un pouvoir marginal en ce mettant au moment des faits. Il doit admettre une certaine faillibilité du dirigeant. On peut cependant être tenu pour complice d’ une violation d’une obligation contractuelle comme le cas où la banque reproche le fait de s’être remboursé des comptes courants que le dirigeant s’était engagé à ne pas se rembourser ou pour des fautes grossières qui ont causé un dommage à des tiers Documentation: Un jugement de la Cour d’appel de Mons qui a condamné sur le droit commun un dirigeant
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